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PI07L formation avant titularisation (FAT)

14 décembre 2007

Notre formateur vénéré

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Notre respectable formateur : Antoine JUNG

Sa pédagogie et son animation remplies d'anecdotes personnelles

ont rendu ces deux modules (TCM1 et TCM2) intéressants et surtout

enrichissants. Merci à toi Antoine et à bientôt sur la route de ton savoir.

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14 décembre 2007

Les joyeux drilles

Il est difficile de former un groupe homogène lorsque les objectifs semblent aussi différents.

Aidé par Antoine et la personnalité de chacun des stagiaires, il aura fallu seulement deux jours pour que le rapprochement puisse se faire et que tous apportent leur pierre à l'édifice de la bonne ambiance, conclue par une matinée croissant, agrémentée des produits des ruches de Jean-Louis.

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Pour agrandir cliquer sur la photo

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Walter et son ordinateur pour faire rire les copines

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Horia amusée ne distrait pas les studieux

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Salut les gars, maintenant au boulot...

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Attirées par le miel, peut-être pas!!

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Le coin des penseurs, mené par Edwige.

1 décembre 2007

Konrad LORENZ

*  Konrad Zacharias Lorenz, plus connu sous le nom de Konrad Lorenz, biologiste et zoologiste autrichien, né le 7 novembre 1903 à Vienne, décédé le 27 février 1989.

Biographie

Il fait des études de médecine et à trente-quatre ans, il enseigne la psychologie animale et l'anatomie comparée à Vienne pendant trois ans. Adhérent au parti nazi en 1938, au moment de l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne, il se fait l'avocat enthousiaste du nazisme. Enthousiasme dont il s'est longuement et à maintes reprises repenti y compris lorsqu'on avait cessé de lui demander des comptes (notamment dans son discours de remerciement à l'occasion de la remise du Prix Nobel près de trente ans après sa dénazification[1]). En 1940, il devient professeur à l'université de Königsberg où il occupe la chaire d'Emmanuel Kant.

Engagé volontaire en 1941 dans l'armée comme médecin psychiatre auprès des soldats allemands souffrant de chocs traumatiques. Il est fait prisonnier par les Russes en 1942 et déporté en Arménie soviétique jusqu'en 1948. Dans ses travaux ultérieurs, Lorenz se servira de cette expérience (enthousiasme nationalisme et constats des dégâts du lavage de cerveaux chez les allemands nazifiés et les russes communisés) pour élaborer une critique des dérives de l'instinct d'agression chez l'homme. Dénazifié de bon gré, il dirige l'institut d'éthologie comparée d'Altenberg de 1949 à 1951 puis l'Institut Max Planck de physiologie comportementale (un des 80 instituts de recherche de la Société Max Planck) de Buldern (1951-1954) puis celui de Seewiesen (1954). Il reçoit en 1973, conjointement avec Karl von Frisch et Nikolaas Tinbergen, le prix Nobel de physiologie ou médecine pour leurs découvertes concernant «l'organisation et la mise en évidence des modes de comportement individuel et social»; il s'agit du seul prix Nobel jamais remis à des spécialistes du comportement. Leurs travaux constituent les fondements d'une nouvelle discipline de la biologie : l'éthologie.

À la fin de sa vie, Lorenz, proche des mouvements écologistes et anti-nucléaires, consacre sa recherche à une réflexion humaniste sur le devenir de l'humanité.

1 décembre 2007

Eric BERNE

Éric Berne

Éric Berne, né à Montréal (Canada) le 10 mai 1910, mort le 15 juillet 1970, psychiatre américain, fondateur de l'analyse transactionnelle.

Né dans une famille juive émigrés d'Europe de l'Est, il étudie la médecine à l'Université McGill, puis la psychiatrie à l'université Yale aux États-Unis, et devient citoyen américain. Établi en Californie en 1946, il y élève sa famille tout en menant une carrière très chargée en psychiatrie (hôpital, clinique, services conseils pour l'armée et cabinet privé).

Dans les années 1950, Berne est toujours inspiré par Freud, mais prend ses distances par rapport à la psychanalyse. Il cherche à développer un outil thérapeutique efficace et rapide, donc moins coûteux et accessible à tous. Il met au point des concepts originaux dont il fait état dans plusieurs articles scientifiques. Lors de la parution de son ouvrage Transactional Analysis and Psychotherapy, en 1961, sa théorie fait déjà parler d'elle dans les milieux psychothérapeutiques et psychiatriques. En 1964, Berne et ses collègues fondent l’International Transactional Analysis Association (ITAA), qui existe toujours aujourd'hui.

1 décembre 2007

Henri LABORIT

Henri Laborit, né à Hanoï alors en Indochine le 21 novembre 1914 et décédé le 18 mai 1995, est un biologiste, un philosophe du comportement animal et surtout du comportement humain.

Henri Laborit a dirigé la Revue d'agressologie de 1958 à 1983.

Il se montra toute sa vie esprit curieux et par ailleurs anticonformiste (défense inattendue de la revue Planète contre les attaques de l'Union rationaliste dans les années 1960, rappel discret des massacres de Vendée dans « Mon oncle d'Amérique » en 1980, participation au comité de direction de l'Institut de Sémantique générale de Lakeville). On ne le vit pas néanmoins se laisser étiqueter sous quelque mouvement que ce soit.

En 1969, les étudiants en urbanisme de l'Université de Vincennes, qui est en train de se créer, l'invitent à animer une unité de valeur biologie et urbanisme (jusqu'en 1974)

C'est avec son livre La Nouvelle grille (1974) qu'il fit connaître ses idées sur la biologie comportementale au grand public dans le contexte favorable post-68.
Ses travaux sur le conditionnement sont à la base du film
Mon oncle d'Amérique d'Alain Resnais en 1980. Il fait montre de l'expérience scientifique sur des rats qui l'a amené à développer le concept d'Inhibition de l'action (titre de l'un de ses livres voir plus bas) et qui explique dans quelles conditions de stress des rats isolés somatisent (ulcères).

On doit à Laborit l'introduction (1952) de la chlorpromazine (le premier neuroleptique, dont le nom commercial est Largactil) dans le traitement de la schizophrénie. Avant, il avait introduit l'hibernation artificielle (1951).

Il a donné sa vraie importance à la névroglie ou ensemble de cellules gliales, et aux radicaux libres, bien avant leur irruption dans la presse-radio-TV et même dans la presse scientifique. Il a également été le premier à synthétiser le GHB au début des années 1960.

*   Récompensé par le Prix Albert Lasker pour la recherche médicale en 1957, médaillé de l'O.M.S en 1972, il reçut le prix Anokhin (URSS) en 1981. Il n'a pas eu le prix Nobel (il était nominé) (D'après Pierre HUGUENARD, Professeur émérite à la Faculté de Médecine de l'Université de Paris XII (Sic)" à cause de l'hostilité du microcosme médical civil Français, et plus précisément parisien «) parce qu'il ne faisait pas partie de l'élite scientifique : il n'était pas membre d'un grand Institut ni d'un grand Centre de recherche

Inhibition de l'action

Dès la première page de son livre « Inhibition de l'action » (Masson, Paris, 1980), le Professeur Henri Laborit (1914-1995) évoque le PBD (programme biologique de survie) : « Quand l'action [pour résoudre un conflit] est impossible, l'inhibition de l'action permet encore la survie puisqu'elle évite parfois la destruction, le nivellement entropique avec l'environnement. C'est en ce sens que la « maladie » [les guillemets sont de Laborit] sous toutes ses formes peut être considérée comme un moindre mal, comme un sursis donné à l'organisme avant de disparaître.» (...) « Le manichéisme qui caractérise la majorité des conduites humaines ne permet d'envisager jusqu'ici que deux conduites à l'égard de la maladie : l'une consiste à agir sur l'organisme malade en ignorant son environnement, l'autre à agir sur l'environnement en croyant que cela suffira à résoudre tous les problèmes organiques. Il serait sans doute préférable dans certains cas, pour traiter un ulcère d'estomac, d'éloigner la belle-mère par exemple plutôt que de pratiquer une gastrectomie qui ne changera rien au facteur environnemental." (...) "Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie."

Citations

"L'Homme est enfin, on peut le supposer, le seul animal qui sache qu'il doit mourir. Ses luttes journalières compétitives, sa recherche du bien-être à travers l'ascension hiérarchique, son travail machinal accablant, lui laissent peu de temps pour penser à la mort, à sa mort. C'est dommage, car l'angoisse qui en résulte est sans doute la motivation la plus puissante à la créativité. Celle-ci n'est-elle pas en effet une recherche de la compréhension, du pourquoi et du comment du monde, et chaque découverte ne nous permet-elle pas d'arracher un lambeau au linceul de la mort ? N'est-ce pas ainsi que l'on peut comprendre qu'en son absence celui qui "gagne" sa vie la perd ?"

"Beaucoup d'entre nous mourront ainsi sans jamais être nés à leur humanité, ayant confiné leurs systèmes associatifs à l'innovation marchande, en couvrant de mots la nudité simpliste de leur inconscient dominateur."

"Confronté à une épreuve, l'homme ne dispose que de trois choix : 1) combattre ; 2) ne rien faire ; 3) fuir."

"Le tragique de la destinée humaine ne vient-il pas de ce que l'homme comprend qu'il en connaît assez pour savoir qu'il ne connaît rien de sa destinée, et qu'il n'en connaîtra jamais suffisamment pour savoir s'il y aura autre chose à connaître."

"Au delà de la vision étroite des perturbations "psychosomatiques" auxquelles on se référait alors, il ouvre la voie de la neuro-psycho-immunologie, une des approches les plus prometteuse du comportement humain en relation avec les mécanismes moléculaires et cellulaires. L'inhibition de l'action peut être le facteur déclenchant de désordres neuro-psycho-immulogiques. La preuve est faite aujourd'hui des interrelations entre macrophages, hormones peptidiques et régulateurs du fonctionnement cérébral. Les trois réseaux qui assurent l'homéostasie du corps (système nerveux, immunitaire et hormonal) convergent et s'interpénètrent. Henri Laborit, homme total et libre dans l'univers fragmenté des disciplines, restera en cette fin du 20ème siècle comme un pionnier de la pensée complexe et l'inspirateur d'un nouveau sens de la vie" Joël de Rosnay (Directeur de la Prospective et de l'Evaluation Cité des Sciences et de l'Industrie – Paris)

"(…) pour faire une infection ou une affection néoplasique [cancer], il ne suffit pas d'un contact avec un microbe ou un virus ou un irritant local chroniquement subi. On a trop focalisé sur le microbe, le virus ou le toxique cancérogène et pas assez sur le sujet, sur son histoire passée et présente, ses rapports avec son environnement. Les toxiques eux-mêmes doivent sans doute présenter une toxicité variable suivant le contexte et le statut social de l'individu qu'ils atteignent. (...) Contentons-nous maintenant de rappeler que les schizophrènes parvenus au stade de la démence, isolés du contexte social par leur folie, sont parmi les populations les moins atteintes par les affections cancéreuses, infectieuses et psychosomatiques (...)".

"(...).il n'y a pas que les maladies psychiques et psychosomatiques qui soient du ressort des comportements individuels en situation sociale (…), sans doute toute la pathologie en dépend." (...)

"Nous sommes les autres, c'est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie." (...)

"La pathologie réactionnelle aiguë à une lésion, elle-même brutale et soudaine, dépend aussi de ce qu'il est convenu d'appeler le "terrain" et qui nous paraît être l'état de la dynamique métabolique tissulaire au moment où elle s'installe. Cette dynamique elle-même dépend de toute l'histoire antérieure du sujet, c'est-à-dire de ses rapports historiques avec ses environnements.".(…)

"Quand, il y a peu d'années encore, un médecin observait chez un malade une raideur des muscles de la nuque, une céphalée avec obnubilation, coma parfois, hyperthermie, pouls ralenti, vomissements, il faisait le diagnostic de syndrome méningé. Notons qu'il avait fallu des millénaires pour réunir ces signes disparates en faisceau et montrer qu'ils exprimaient un état d'irritation des méninges. Mais en se limitant aux symptômes par ignorance des processus sous-jacents, la thérapeutique se limitait généralement à prescrire de la glace sur la tête et de l'aspirine. La plupart des malades mouraient."(…)

"La séparation entre l'esprit et le corps est sans doute un des concepts les plus difficiles à détruire, car fondé sur une apparente évidence. C'est lui qui distingue encore les écoles philosophiques, les sciences humaines des sciences physiques, et par exemple les psychiatries pavlovienne et freudienne, c'est-à-dire les méthodes cherchant à s'appuyer sur des mesures objectives de faits observés de celles basées sur une approche entièrement subjective et introspective des comportements humains. C'est la barrière qui persiste entre la pathologie cortico-viscérale et la pathologie psychosomatique." Henri LABORIT « Inhibition de l'action » (Editions Masson Paris & Presses Universitaires de Montréal, 1980)

A l'issue d'une conférence que donnait Laborit en 1966, un psychiatre se leva pour déclarer, non sans emphase, qu'il le voyait comme un " hardi explorateur qui, tel un Viking, s'élance sans peur sur les eaux profondes et dangereuses de la pensée scientifique à la découverte de nouveaux rivages". Laborit étudie systématiquement toutes les grandes familles de molécules agissant au niveau du système nerveux central. Il déplore les effets abrutissants de tranquillisants tels l'équanil et les benzodiazépines qui ne remédient en rien aux causes de l'anxiété.

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1 décembre 2007

Analyse transactionnelle

Analyse transactionnelle

L’Analyse transactionnelle (aussi appelée AT) a été fondée par un médecin psychiatre américain, Éric Berne, dans les années 1950 à 1970.

L'AT est une théorie de la personnalité et de la communication. Elle décrit la première notamment en termes « États du Moi » (Parent, Adulte, Enfant), et étudie les phénomènes intrapsychiques à travers les échanges relationnels, appelés « Transactions ».

L’A.T. permet une meilleure connaissance de soi et des autres, pour prendre conscience de « ce qui se joue ici et maintenant » dans les relations personnelles et professionnelles, entre deux personnes et dans les groupes.

L’A.T. propose des grilles de lecture pour la compréhension des problèmes relationnels, et des modalités d’intervention pour résoudre ces problèmes.

Elle permet de repérer les « jeux psychologiques », des types d'échanges qui se répètent de manières semblables, et qui se terminent par un sentiment de malaise. Parmi les autres concepts de l'AT, on trouve les « positions de vie », des éclairages sur la gestion des signes de reconnaissance et des sentiments, la structuration du temps, les messages contraignants, les méconnaissances et les différents degrés de passivité.

L'AT postule que les grandes orientations de la vie sont décidées dès l'enfance, et peuvent prendre la forme d'un « Scénario de vie ». Éric Berne définit trois critères de bonne santé psychique : « conscience, spontanéité et intimité ».

1 décembre 2007

Typologie

Une typologie est une démarche, souvent scientifique mais basée sur une étude, consistant à définir un certain nombre de types afin de faciliter l'analyse, la classification et l'étude de réalités complexes.

Par extension, le terme typologie désigne parfois la liste des types propres à un domaine d'étude.

1 décembre 2007

Inhibition

INHIBITION

Blocage ou affaiblissement d'une fonction psychique
Selon que l'on se réfère à la psychiatrie ou à la psychanalyse, on trouve deux définitions un peu différentes de l'inhibition. Dans la première, l'inhibition est le blocage, involontaire et souvent douloureux, de l'activation émotionnelle, avec perte de réactions ou d'initiatives. Dans la seconde, c'est la perte ou la diminution d'une fonction dont la conscience, ou une culpabilité inconsciente, interdit l'exercice. Elle est souvent liée, plus ou moins directement, à la sexualité.

1 décembre 2007

Ethologie

Éthologie

L'éthologie signifie étymologiquement « science des mœurs » (ethos : « mœurs », logos : « étude/science »[1]). Il s'agit en fait de l'étude du comportement animal tel qu'il peut être observé chez l'animal sauvage en milieu naturel, d'animaux en captivité, ou chez l'animal domestique. On situe les origines de cette science au XVIIe siècle, mais le nom date de 1854 (première utilisation connue par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire (1772-1844)).
Le sens restreint et moderne donné au mot éthologie fait référence à une science plus récente : il s'agit de l'étude objective et scientifique des comportements animaux. Elle est notamment inspirée par les travaux de
Konrad Lorenz (1903-1989) et Nikolaas Tinbergen (1907-1988) dans la première moitié du XXe siècle.
Il faut de plus inclure dans cette signification l'étude comportementale des êtres humains et des relations homme-animal. Le principe de base de l'éthologie étant d'utiliser une perspective biologique pour expliquer le comportement, cette science est aussi appelée «
biologie du comportement ». Dans le champ de cette discipline sont apparues ou sont utilisées l'éthologie constructiviste, l'éthologie computationnelle, l'écologie comportementale, qui s'appuient notamment sur le comportementalisme, behaviorisme et de nombreuses disciplines.

1 décembre 2007

Homéostasie

L'homéostasie est la capacité à conserver l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes extérieures. Pour Claude Bernard : « l’homéostasie est l’équilibre dynamique qui nous maintient en vie ». De plus, pour maintenir cet équilibre du corps, les hormones stéroïdiennes sont vitales.

La notion est apparue en biologie, relativement à l'équilibre chimique des organismes vivants, mais s'est révélée utile à la définition de toutes formes d'organismes en sociologie, en politique et plus généralement dans les sciences des systèmes.

Définition

L'homéostasie d'un organisme cellulaire dont le liquide interstitiel est formé d'atomes est sa capacité autorégulée à conserver un fonctionnement satisfaisant et un équilibre entre le compartiment intracellulaire et le compartiment extracellulaire (le milieu intérieur, c'est à dire intérieur à l'organisme mais extérieur aux cellules) séparés par la membrane cellulaire, malgré une contrainte extérieure. Elle nécessite une source d'énergie extérieure.

« L'homéostasie se définit comme la capacité de l'organisme de maintenir un état de stabilité relative des différentes composantes de son milieu interne et ce, malgré les variations constantes de l'environnement externe. »

Plus simplement, l'homéostasie est donc l'équilibre interne de l'organisme.

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